La musique de Mozart, les poèmes de Rimbaud : restes d’un grand festin où je n’ai pas été invité.
Maladroit, je n’ai peut-être pas la bonne adresse.
Si j’ai faim, je mange les restes ; seulement il est des faims que les restes ne suffisent pas à rassasier. On a besoin d’un vrai repas.
Je travaille, j’ai travaillé.
Tout chez moi se tient aux aguets.
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