Toutes les grandes oeuvres parlent de Dieu ou de l’absence de Dieu. C’est le propre de l’art. Sinon il s’agit de divertissement, de technique, de raffinement, et ça peut être très bien, très divertissant, technique, raffiné, mais ça n’est pas de l’art.
L’art pose obligatoirement, forcément, nécessairement, absolument, essentiellement la question de Dieu.
PS : voir à ce sujet George Steiner, Le Sens du sens. Présences réelles (Vrin, 1988)