Le corps, c’est ce qui limite et ce qui est limité.
Pourtant il peut s’ouvrir comme une porte.
Aristote a pensé ce passage : il a vu la poignée et la serrure.
Le Christ l’a ouvert.
**********************
- Bénédictions (11)
- Essais (11)
- Fictions (54)
- Fragments (151)
- Les autres (59)
- Notes (111)
- Pensées (179)
- Plaisanteries (77)
- Poésie (88)
- Romans (6)
- Toulouse (28)
- Variations (73)