La plus française des pièces de ce fou d’Italien, et quel rythme, quel humour élastique, quels enfantillages ridicules mais dramatiques, qui font rire précisément parce qu’ils n’ont rien de drôle. L’auteur mène la danse avec brio ; rien n’est lourd, tout vient, tout s’entend, tout fonctionne.
Felice est à la liberté des femmes ce que le Figaro de Beaumarchais est à celle des petites gens.
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