Une vapeur dans le soir, autour d’Auguste, à la marche comme s’il nageait, droit devant, régulier, facile le mec, gentil mais sûr de lui, positiviste ; il a un emploi enviable, une carte professionnelle, des tickets-restaurant ; son destin c’est ne pas en avoir. Et alors? Il fait froid. Depuis cent ans, j’ai froid. Si tu n’as rien à faire, au moins souviens toi.
**********************
- Bénédictions (15)
- Essais (12)
- Fictions (54)
- Fragments (152)
- Les autres (59)
- Notes (111)
- Nouvelles (1)
- Pensées (182)
- Plaisanteries (77)
- Poésie (89)
- Romans (6)
- Toulouse (28)
- Variations (73)