Lire l’article de Philippe Lançon consacré à Baltasar Graciàn ; dont voici un extrait :
“Chaque aphorisme est un crime parfait. Il entre dans la conscience comme une lame courte et tranchante ; il en ressort vite, laissant le lecteur saisi par les plis de la plaie, incertain sur la nature et la profondeur de la blessure qui lui est faite. Le lecteur est une victime choisie. Il doit être surpris, touché, étourdi, jamais ennuyé.”
L’aphorisme, pas n’importe lequel évidemment nous “fait un enfant dans le dos” comme le disait Deleuze à propos de ses commentaires des philosophes
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Merci pour le Weil. Merci beaucoup.
Il vient, votre article ?
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