Il suffit, me dit-il, de rouler serrée l’oeuvre de Spinoza. C’est meilleur que le meilleur des joints. Dedans, il y a les incohérences, le sujet, la torpeur maximum, et le vent bien sûr, le grand vent dans les églises mortes, autour des autels, sous la gorge d’Iphigénie — du désir la broche collective… — ; et ce vent, ce grand vent persévérant attisera dans les coeurs millénaires le seul incendie véritable en ce monde, le monde, notre monde où rien n’est sec et où rien, à part Dieu, ne peut véritablement brûler.
**********************
- Essais (13)
- Fictions (56)
- Fragments (189)
- Les autres (62)
- Notes (134)
- Nouvelles (1)
- Pensées (188)
- Plaisanteries (78)
- Poésie (97)
- Psaumes (18)
- Romans (7)
- Toulouse (28)
- Variations (80)