Toujours chez Gadenne, les paysages (ou la maison chez les Stirl) signifient quelque chose et s’ouvrent vers des doubles-fonds sans fin, à des profondeurs insondables et garnies de lignes de fuite. Toujours ces reprises dans le décor, ces soubassements dans le langage, ces méprises dans le paysage, qui correspondent aux abîmes intérieurs, aux failles des personnages. C’est là dans Siloé ou dans L’Invitation que poussent en même temps, comme si elles étaient la même chose dans deux états différents, les racines noires de l’amour et de la maladie.
**********************
- Essais (13)
- Fictions (56)
- Fragments (188)
- Les autres (63)
- Notes (136)
- Nouvelles (1)
- Pensées (188)
- Plaisanteries (78)
- Poésie (97)
- Psaumes (18)
- Romans (7)
- Toulouse (28)
- Variations (80)