“Ce sont d’épais grumeaux aplatis, un badigeon de fard, un écrasis d’huile et de pastel, tout un sabrage de craie crasse. L’on découvre alors que Fautrier s’est fabriqué une matière à lui, qui tient de l’aquarelle et de la fresque, de la détrempe et de la gouache; où le pastel broyé se mêle à l’huile, et l’encre à l’essence. Le tout mastiqué, bouchonné à la main et qui s’applique à la hâte sans repentirs (à la façon des fresquistes) sur un papier gras, qu’un enduit colle à la toile. L’ambigüité en quelque sorte y quitte le sujet. Elle se fait peinture.”
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