Aplats superposés

Si j’essaye de me souvenir de Max sur la murette, devant le lycée, un pied sur sa 103 défoncée, les lignes s’effacent, on dirait que la photo a fondu sur un grille-pain, le décor familier se transforme en marécage, comme celui qui jouxtait le moulin à eau de Christophe et Hélène Vézin sur le chemin de la Cavayère, les aplats se superposent et c’est la brume : les choses n’ont plus de noms.

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Guillaume Sire
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