Quel tintement produirait mon corps arrimé à ces projectiles ?
Quel cri, ma pensée ?
Engrammes : traces laissées dans le cerveau par un nombre inouï d’observations poétiques.
J’ai refusé de fuir en m’enfermant dans une bibliothèque et une affliction infinies.
Cette époque n’est ni maudite je crois, ni achevée.
Une question toutefois demeure inexplorée :
Quel acte cannibale et nécessaire assujettit le cœur à la mémoire ?