« …nous périrons par où nous avons cru vivre » (Baudelaire, Les fusées).
Ça bouge mais c’est mort ; et c’est parce que c’est mort que ça bouge.
Agitation, divertissement, alcools nocturnes, progrès… C’est du désespoir. C’est de la mort, la mort, c’est la mort elle-même.
Le canard court quand la tête a été coupée.