De Pivot à Ruquier, personne n’en doute, il y a eu déperdition, perdition ; la culture a été réduite à autre chose qu’à l’essentiel — tronquée, amputée, saignée. Ce n’est pas la faute de Laurent Ruquier, pas plus que ce n’était grâce à Bernard Pivot si la culture avait du ventre, mais enfin, tout cela est bien triste. Les rythmes fous dans les boîtes de nuit, la téléréalité, etc. Nous revenons aux temps barbares.
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