Hobbes croyait que la vérité était le fait d’une convention. Il y voyait un agencement arbitraire, une curiosité narrative. Orgueilleux et défaitiste en même temps, sourd à l’intuition profonde, il ne croyait pas que la pensée pût accéder à une présence réelle. Selon lui, tout effort de la pensée était destiné/condamné à n’être qu’un jeu de pensée, le miroir en face du miroir, un cul-de-sac en pleine campagne, la mauvaise blague d’un pince sans rire.
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