Les mandarines

De la lumière qu’on mange, sous l’épluchure vermiculée ;
Petits soleils acidulés, zeste d’été sur l’arbre mort ;
Sucre d’hiver comme on dit “le sel de la terre”, molécules de Noël ;
Ombres orangées sur les joues des enfants.

Unknown's avatar

About Guillaume Sire

Guillaume Sire
This entry was posted in Poésie. Bookmark the permalink.

Leave a comment