Ne pas aimer quelqu’un c’est ne pas s’aimer soi en sa présence, haïr ce que près de lui on a l’impression de devenir, comment on y apparaît, les interférences subies. Cela ne dépend pas du sujet, malgré ce qu’on a à lui reprocher, mais de soi-même d’abord : de cette incapacité à être comme on voudrait. C’est l’effet d’une tension, donc, entre le devenir, l’être, l’apparence et la volonté de devenir, d’être et d’apparaître.
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