Toulouse, en juin, est à Athènes. La pluie lavée à l’odeur de pin, graisse la patte des façades. L’horreur s’éteint, les coups, la rue. L’encre a bavé dans les créneaux.
Quelle erreur ce fut de verser ma mémoire dans l’estomac d’un spirographe. Je croyais la protéger, la réunir et l’essentialiser, or voilà que sur ma langue a fondu la dragée et rien, je ne doute de rien.