Notre époque déteste la pensée, la beauté, le libre-arbitre, les secrets ontologiques, la retenue, la hiérarchie et le pardon.
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Ce qu'il reste des brumes 
notre époque n’aime pas tellement notre époque, même si elle la qualifie (éhontément ou naïvement) de formidable.
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En fait, Guillaume, ce sont redevenus des animaux. Certes, ils parlent, mais ce sont des animaux. Des bêtes féroces, avec accès d’infantilisme sentimental par moments, sur certains sujets. Une fois que vous avez cela dans la tête, tout paraît plus évident. (On peut aussi fuir, car toute la planète ne nous suit pas encore…).
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Une jambe Darwin, une jambe “Bisounours”. Pas davantage. Mais on peut fuir, et d’ailleurs il le faut.
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Une époque de trop.
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