Je ressens, j’ai ressenti la douleur de l’écran. Les ordinateurs n’existent pas parce qu’il n’y a rien de divin en eux. Le mien calcule mais ne résout pas. Et sa flamme est celle du néant. Sa douleur est la mienne puisque je suis les yeux qu’il crève. Et oui, sa flamme est celle du néant.
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