L’astre, le soir, accroché à un rayon de beurre,
Se couche dans la mort, sous son sein, sa chaîne, dans son nid ancien,
Et dans sa gueule affreuse, l’haleine orientale de la lionne, dans son urine ambrée ;
Il renaîtra, surpris — de nouveau…
Renaîtra. Mon amour, il te reconnaîtra.
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